C'est le calme avant la tempête. Brive profite d'un dernier moment de tranquillité pour travailler physiquement avant de se lancer dans le sprint final du Top 14, sans oublier un quart de finale européen du côté de Bath. Il faut souffrir pour être performant sur le terrain. Une petite piqure de rappel en cours de saison n'est jamais inutile.
Brive est rentré un peu frustré de son déplacement au Racing, conscient qu'il y avait quelque chose à faire et que ramener au minimum un bonus défensif n'aurait pas été immérité. Mais les dieux du rugby en ont décidé autrement, montrant aux brivistes leurs points faibles et les obligeant à travailler pour se hisser au niveau des meilleurs. Malgré tout, il y a eu du positif dans cette rencontre et c'est sur quoi le CAB doit s'appuyer pour préparer le terrible mois de mars qui arrive.
Profitant d'une nouvelle semaine sans match (la dernière avant un petit moment), les joueurs brivistes ont repris leur travail physique, entamé il y a deux semaines (et mis entre parenthèses pour la préparation du Racing). Samedi, Brive a retrouvé des jambes et des sensations dans son jeu. Sûrement que la préparation physique d'il y a deux semaines y est pour quelque chose.
L'effectif est divisé en plusieurs groupes qui enchainent séances de musculation en salle et séances de physique en compagnie des préparateurs physiques. Après avoir disputé ses deux premières sélections avec la Géorgie, Soso Bekoshvili est de retour en Corrèze. Préservé samedi, Gaëtan Germain a réalisé la séance de physique normalement. Tout comme Sisa Koyamaibole qui n'est désormais plus limité par sa coupure au genou.
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Article rédigé par Rémi Brazon