Zebre Parme - CA Brive : la composition de Parme en Challenge Cup

La saison est compliquée pour l'équipe de Parme mais la Challenge Cup arrive comme une bouffée d'oxygène, un laboratoire pour les jeunes. Les italiens n'ont plus rien à jouer dans cette compétition mais il faudra gagner samedi contre Brive. Pas simple mais à domicile, Zebre espère bien que la victoire sera au bout.

Image : site off Zebre

Le championnat celte est compliqué pour les italiens. Avec une dernière place au classement et seulement deux victoires, difficile d'entretenir la confiance dans le groupe mais les intentions de jeu sont là. Malheureusement, la concrétisation n'y est pas. On dira que c'est l'expérience qui rentre. Demain, Marco Bortolami sera le capitaine de l'équipe et entend bien se servir de la rencontre pour accumuler de la confiance en vu des prochains matchs de Pro 12 (entretien à La Montagne)

C'est sûr que pour nous, il y a moins d'enjeu. Comme pour certaines équipes françaises, quand on n'a pas l'occasion de pouvoir jouer les phases finales, cette compétition compte moins. À Brive nous étions venus avec beaucoup de remplaçants. Mais c'est important pour nous de faire un bon match, surtout à domicile. Le public ne fait pas de différence entre la Coupe d'Europe et le Pro 12. Et nous avons besoin de nous remettre dans la bonne direction après plusieurs défaites.

Il y a du changement par rapport à l'équipe victorieuse en Corrèze. Les cadres sont de retour même si certains sont absents (comme Mauro Bergamasco) mais on note la titularisation de l'ancien briviste Luciano Orquera et de l'ancien parisien Mirco Bergamasco.

Voici le XV de départ de Zebre pour la réception de Brive :

1 De Marchi - 2 Fabiani - 3 Redolfini



4 Geldenhuys - 5 Bortolami (Cap)



6 Bernabo - 8 Van Schalkwyk - 7 Cristiano



9 Palazzani - 10 Orquera



11 Venditti - 12 Bergamasco - 13 Iannone - 14 Berryman



15 Odiete

Remplaçants : 16 D'Apice - 17 Aguero - 18 Chistolini - 19 Biagi - 20 Sarto - 21 Leonard - 22 Haimona - 23 Toniolatti

Article rédigé par Rémi Brazon