Rugby transfert : Russlan Boukerou rejoint le Tarbes Pyrénées Rugby

Nous continuons notre tour d'horizons des départs du CAB. Le recrutement n'est pas une science exacte : certains choix s'avèrent fructueux et payants tandis que d'autres ne le sont pas. C'est le cas de Russlan Boukerou qui n'est pas parvenu à trouver ses marques au CAB.

Une saison et puis s'en va. Russlan Boukerou voulait montrer qu'il avait le niveau du Top 14. Après une saison passée sous les couleurs de Auch en Pro D2 où le deuxième ligne a alterné blessures et titularisations (15 en 17 matchs disputés), Russlan accepte le défi briviste et s'engage pour deux saisons.

Formé au Stade Toulousain, le deuxième ligne tente de frayer un passage à travers le riche effectif toulousain. Il y arrive en partie à la fin de la saison 2010-2011 et au début de la saison suivante, profitant amplement de la coupe du monde en Nouvelle-Zélande. Mais après, les apparitions de Boukerou se font très rares et le joueur décide de quitter le nid pour prendre son envol. Après une bonne saison en Pro D2 à Auch, Boukerou revient en Top 14 à Brive. Mais le joueur ne parviendra pas à s'imposer en 2e ligne. Russlan ne prendra part qu'à 5 rencontres de Top 14, n'étant titulaire que lors du déplacement à Clermont et il a inscrit un essai, lors du déplacement au Racing. Malgré tout, il a pu s'exprimer en Challenge Cup en participant à toutes les rencontres (dont 4 en tant que titulaire).

Malheureusement, ce ne fût pas suffisant pour gagner de la confiance. Russlan Boukerou décide d'abandonner le Top 14 pour regagner la Pro D2. Tarbes sera le nouveau pied à terre du deuxième ligne.

OFFICIEL : R. Boukerou signe pour 2 saisons à #Tarbes Plus d'infos >> http://t.co/A0xzprolym #PROD2 @ActusProD2 @rugbyactu @russlanboukerou

— TPR - Officiel (@TPR_OFFICIEL) 8 Mai 2015

Merci pour avoir porté et défendu le maillot du CAB et bonne chance pour ta nouvelle carrière à Tarbes

Retrouvez toutes les infos dans notre tableau transferts du CA Brive rugby pour la saison 2015/2016

Article rédigé par Rémi Brazon